Quand le sport devient l’antidote à la souffrance professionnelle
Vous les croisez tous les jours. Ces collègues qui traînent leur fatigue comme un boulet. Ces managers au bord de l’implosion. Ces équipes qui se délitent sous le poids du stress. Et si la réponse n’était ni dans un énième séminaire de cohésion, ni dans une application de méditation, mais dans quelque chose de viscéralement humain : le mouvement ?
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : en France, 53 % des salariés souffrent de niveaux de stress élevés en 2024, soit une hausse de 13 points en un an. 42 % des travailleurs sont en détresse psychologique. Et pourtant, 31 % des salariés ne pratiquent aucune activité physique. Une bombe à retardement dans les open spaces, les usines, les hôpitaux.
Ce que vous allez découvrir
- Comment le sport réduit concrètement l’absentéisme et le burn-out
- Les mécanismes psychologiques et physiologiques qui transforment un corps en mouvement en un esprit apaisé
- Pourquoi des solutions comme Wellpass changent la donne dans les entreprises françaises
- Les résultats mesurables sur la productivité, la cohésion et la santé mentale
Pour aller plus loin sur le sujet, lisez cet article dédié au bien-être au travail.
La France au bord de la crise nerveuse collective
Il ne s’agit plus d’un simple malaise. Nous sommes face à une épidémie silencieuse. Les pathologies psychiques reconnues comme d’origine professionnelle ont plus que doublé entre 2016 et 2023. Le nombre de cas de burn-out a explosé de 515 % entre 2017 et 2022. Et ce n’est que la partie visible de l’iceberg, car beaucoup de salariés souffrent dans l’ombre, sans reconnaissance officielle.
Le paradoxe est saisissant : alors que 89 % des salariés affirment qu’une entreprise qui propose du sport veille à leur bien-être, seule une minorité d’organisations franchit le pas. Pendant ce temps, les arrêts maladie s’accumulent, les démissions aussi. Le coût humain est incommensurable. Le coût financier, lui, se chiffre en milliards.
Les troubles musculo-squelettiques touchent 58 % des femmes et 51 % des hommes entre 18 et 64 ans. Les salariés passent en moyenne 5 heures par jour assis, un chiffre qui grimpe à 7 heures pour 66 % des télétravailleurs. La sédentarité n’est plus une option négligeable, c’est une menace directe pour la santé collective.
Ce que le sport fait vraiment à votre cerveau
Oublions les discours motivationnels creux. Parlons science. Lorsque vous bougez, votre corps libère des endorphines, ces neurotransmetteurs qui agissent comme des anxiolytiques naturels. Mais ce n’est pas tout. L’activité physique stimule également la production de sérotonine et de dopamine, deux molécules essentielles à la régulation de l’humeur et de la motivation.
Une étude du cabinet Goodwill Management révèle qu’un salarié qui pratique une activité sportive améliore sa productivité de 6 à 9 %. Les résultats d’une entreprise peuvent grimper jusqu’à 14 %. Ce n’est pas du marketing RH, ce sont des données vérifiables. Les personnes qui bougent régulièrement augmentent leur productivité de 9 % en moyenne.
Le sport réduit aussi l’absentéisme de manière spectaculaire. Dans certaines études, on observe une diminution de 22 % du taux d’absentéisme dans les groupes pratiquant une activité physique régulière. Il prévient les maladies cardiovasculaires, améliore la qualité du sommeil, renforce le système immunitaire. En d’autres termes, il transforme des corps fatigués en organismes résilients.
Wellpass ou la révolution discrète du bien-être
Voici où Wellpass (anciennement Gymlib) entre en scène. Non pas comme une énième solution gadget, mais comme un dispositif qui casse les barrières d’accès au sport. Imaginez : un abonnement cofinancé par l’employeur qui donne accès à plus de 6 000 partenaires sportifs et 300 activités partout en France et en Belgique. Découvrez toutes les offres sur egym-wellpass.com.
Du yoga chez Episod à l’escalade chez Arkose, en passant par la boxe, le football ou le padel, Wellpass offre une flexibilité totale. Les salariés choisissent où, quand et comment bouger. Plus besoin de s’enfermer dans une salle de sport monotone. Le sport devient accessible, modulable, fun.
Aujourd’hui, Wellpass compte 2 500 entreprises clientes et 800 000 salariés bénéficiaires. Ces chiffres ne sont pas anodins. Ils témoignent d’un changement de paradigme : les entreprises qui investissent dans la santé de leurs équipes ne font pas de la philanthropie, elles font du bon management.
| Impact | Pourcentage | Source |
|---|---|---|
| Salariés estimant que le sport améliore le bien-être | 89 % | Baromètre Harmonie Mutuelle 2024 |
| Amélioration de la productivité | 6 à 9 % | Étude Goodwill Management |
| Réduction de l’absentéisme | 22 % | Études scientifiques Cox & Shephard |
| Salariés en détresse psychologique | 42 % | Baromètre Empreinte Humaine 2024 |
| Salariés ne pratiquant aucune activité physique | 31 % | Baromètre Harmonie Mutuelle 2024 |
Les dirigeants qui ont compris le message
Parmi les dirigeants qui ont intégré le sport dans leur stratégie RH, 75 % constatent un impact positif sur le bien-être des salariés. 53 % observent une amélioration de la capacité à travailler en équipe. 30 % notent une hausse de l’engagement. Et 12 % identifient une baisse tangible de l’absentéisme.
Ces chiffres ne sortent pas d’un chapeau. Ils reflètent une réalité simple : quand on donne aux gens les moyens de prendre soin d’eux, ils deviennent plus présents, plus engagés, plus performants. Le sport n’est pas un gadget RH, c’est un levier stratégique.
Mais attention, tous les dirigeants ne sont pas convaincus. 39 % de ceux qui veulent mettre en place des activités sportives rencontrent des difficultés. Pour 63 % d’entre eux, le frein est financier. Pour 44 %, ce sont des contraintes d’organisation. C’est précisément là que des solutions comme Wellpass font la différence : elles simplifient tout, de l’inscription au suivi, en passant par la facturation.
Le télétravail, allié ou ennemi du sport
Paradoxe intéressant : 80 % des télétravailleurs pratiquent régulièrement une activité physique, contre 69 % pour l’ensemble des salariés. Le télétravail libère du temps, supprime les trajets, offre une flexibilité précieuse. Mais il a aussi un effet pervers : il pousse à la sédentarité. Les télétravailleurs passent en moyenne 7 heures par jour assis, contre 5 heures pour les autres.
Le télétravail a eu un impact positif sur la santé physique de 73 % des salariés et sur leur santé mentale pour 82 %. Chez les femmes, ce chiffre monte à 88 %. Mais pour que ces bénéfices perdurent, il faut structurer l’activité physique, ne pas la laisser au hasard des bonnes résolutions.
C’est là que la flexibilité de Wellpass prend tout son sens. Que vous soyez en télétravail ou au bureau, vous pouvez accéder à une activité près de chez vous ou de votre lieu de travail. Le sport devient un rendez-vous non négociable avec soi-même, pas une contrainte de plus.
Ce que disent ceux qui bougent
Parmi les salariés qui pratiquent une activité sportive organisée par leur entreprise, 94 % soulignent les bienfaits sur leur santé physique et 91 % sur leur santé mentale. Ces chiffres ne mentent pas. Le sport n’est pas qu’une question de muscles, c’est une question de résilience mentale.
Il réduit le stress pour 86 % des salariés, renforce la cohésion d’équipe pour 87 %, lutte contre l’isolement pour 83 %. Pour 82 % des salariés, une entreprise qui propose du sport est une entreprise dans laquelle ils ont davantage envie de travailler. Pour 80 %, c’est une entreprise plus performante.
Ces résultats ne sont pas le fruit du hasard. Ils reflètent une vérité profonde : le sport crée du lien, il brise les silos, il humanise l’entreprise. Dans un monde de plus en plus déshumanisé, c’est une bouffée d’oxygène.
Les freins à lever, les mentalités à changer
Pourtant, 58 % des salariés dont l’entreprise ne propose pas d’offre sportive souhaiteraient qu’elle le fasse. Ce chiffre grimpe à 67 % chez les télétravailleurs et chez ceux qui pratiquent déjà du sport. La demande est là, criante, évidente. Alors pourquoi tant d’entreprises traînent-elles encore des pieds ?
Parmi les salariés qui ne font pas de sport, 57 % invoquent le manque de motivation et près de la moitié le manque de temps. Mais ces excuses cachent souvent un problème plus profond : le manque de structure, de proposition concrète, d’encouragement institutionnel.
Quand une entreprise investit dans le sport, elle envoie un message clair : votre santé compte. Vos performances aussi, mais pas au prix de votre équilibre. Ce message, aujourd’hui, vaut de l’or. Il attire les talents, il fidélise les équipes, il construit une marque employeur solide.
Un investissement qui rapporte plus qu’il ne coûte
Parlons argent, puisque c’est souvent le nerf de la guerre. Les dépenses de santé régressent de 7 à 9 % chez les populations qui pratiquent une activité physique et sportive régulière. Le projet Active Citizens Worldwide a mis en évidence que l’activité physique des Londoniens génère des gains de productivité de l’ordre de 510 millions de dollars canadiens par an.
En France, 83 % des dirigeants de PME québécoises estiment que la pratique régulière d’activités physiques augmente la performance et le rendement de l’entreprise. Ce n’est pas de l’idéologie, c’est du pragmatisme économique.
Le retour sur investissement est triple : économies sur les frais de santé, hausse de la productivité, réduction du turnover. Sans compter les bénéfices intangibles mais réels : ambiance de travail, climat social, réputation. Des éléments qui, sur le long terme, valent bien plus que leur poids en or.
Le rôle méconnu du manager
Former les managers à détecter les signes de stress ou de mal-être est essentiel. Mais les former à promouvoir le sport l’est tout autant. Un manager qui encourage ses équipes à bouger, qui participe lui-même aux activités, qui valorise ces moments, envoie un signal puissant.
Le sport devient alors un rituel collectif, un moment de respiration dans la semaine, un espace où les hiérarchies s’effacent et où les humains se retrouvent. Ces moments-là, bien plus que les séminaires formatés, créent de la vraie cohésion.
Les managers bienveillants, ceux qui comprennent que la performance passe par le bien-être, sont les architectes de cette transformation. Ils ne voient pas le sport comme une perte de temps, mais comme un investissement dans la santé psychologique et physique de leur équipe.
Pourquoi Wellpass change la donne
Wellpass ne se contente pas d’offrir un accès à des salles de sport. Il propose un écosystème complet : cours de yoga, sessions de boxe, escalade, natation, méditation, stretching. Tout est pensé pour s’adapter aux goûts, aux niveaux, aux emplois du temps de chacun.
L’intégration aux outils RH est simple, la gestion administrative inexistante. Le modèle de cofinancement permet à l’entreprise de choisir sa participation, le salarié complète. Transparence, simplicité, efficacité. Trois mots qui résument l’approche de Wellpass.
Et surtout, Wellpass permet aux salariés de composer leur routine sportive selon leurs préférences et leur quotidien. Pas de contrainte, pas de jugement. Juste la liberté de bouger, où et quand on veut. Cette flexibilité est la clé de l’adhésion massive : 800 000 salariés ne s’y sont pas trompés.
L’équation gagnante pour 2025 et après
2025 a été déclarée grande cause nationale pour la santé mentale en France. 13 millions de personnes présentent un trouble psychique chaque année. 53 % des Français indiquent avoir connu un épisode de souffrance psychologique. Face à ces chiffres, les entreprises ne peuvent plus se contenter de belles intentions.
Elles doivent agir, concrètement, structurellement. Le sport en entreprise n’est pas une mode, c’est une nécessité sanitaire. C’est une réponse pragmatique à une crise qui coûte des vies, des carrières, des milliards.
Les entreprises qui l’ont compris prennent de l’avance. Elles attirent les meilleurs talents, elles fidélisent leurs équipes, elles construisent une culture du bien-être qui se traduit en performances durables. Les autres ? Elles rament, elles perdent leurs collaborateurs, elles subissent des taux d’absentéisme records.
Le choix est simple : investir dans le mouvement ou payer le prix de l’immobilisme. Dans un monde qui ne ralentit jamais, le sport est peut-être la seule pause intelligente que l’on puisse s’offrir.
